Un site verdoyant
Notre GONG Space Center est implanté sur une zone industrielle. Aucun arbre n’a été coupé pour sa construction. Pour aller plus loin dans notre démarche, nous avons acheté les forêts autour du site pour les préserver. Ces forêts sont gérées par un organisme qui s’assure de la bonne santé de cet écosystème. GONG rémunère cet organisme qui propose des solutions utiles.
Nous avons ainsi mis en place des installations pour préserver les pipistrelles (chauve souris), aider les insectes xylophages à se nourrir du bois mort, protéger les hérissons et tous les petits animaux locaux, leur ouvrir des petits passages au sol dans la clôture pour les laisser vivre librement.
Nous avons aussi refusé de planter de la pelouse. Ainsi près de 4 000m2 sont plantés en prairie fleurie pour le plus grand bonheur des abeilles et autres insectes. Ca sera parfois moins joli, mais tellement plus sympa de voir tous ces êtres vivants autour de nous. Le bois autour de notre site héberge des animaux plus conséquents, dont des chevreuils et des sangliers. Et entendre un pic vert est monnaie courante sur la terrasse de pause de nos salariés.
Nous avons créé un bassin de rétention, obligatoire pour absorber les fortes pluies. Mais nous l’avons repensé pour que s’y développent des végétaux filtreurs. L’eau qui s’y déverse est préalablement traitée comme il se doit, et nous espérons voir s’y développer des formes de vie déjà présentes au bout de quelques mois : batraciens, libellules et autres insectes d’eau. L’évacuation du surplus d’eau se fait non pas par une canalisation, mais par un petit cours d’eau que nous avons créé pour rendre le lieu bucolique pour nous comme pour les autres habitants.
Pour végétaliser le site, nous avons choisi de ne pas implanter d’espèces qui puissent nuire à la flore locale. Les essences « exotiques » d’ornement ne sont pas invasives et sont isolées des essences locales dans des petits îlots dédiés. La part belle est faite aux essences locales que nous adorons, et ce ne sont pas des choses extraordinaires : simplement ce qui était là avant nous.